[Kiba est très bien comme arbitre, alors si ça le dérange pas trop, je veux bien que se soit lui.]
Umenasaï, se leva de bonheur ce matin là. Il regarda par sa fenêtre le ciel noir et la pluie qui tombait. Il se trouvait toujours en état de choc après ce cauchemars dont il avait l'habitude.
Il se recoucha dans son lit, ferma les yeux pour tenter de se rendormir, mais il n'y arrivait pas. Alors, il s'extirpa de son lit, alla sous la douche et se lava. Puis, il prit des affaires propres et les enfila. Une fois cela fait, il marcha tranquillement jusqu'à la porte de sa chambre, l'ouvrit et disparu dans l'encadrement de la porte. Il descendit ses escaliers doucement, comme d'habitude pour aller dans sa cuisine.
Il prit des nouilles, les fit réchauffer et mangea assez rapidement. Puis il prit une cigarette, la mit dans sa bouche et l'alluma. Alors, il ferma les yeux, cela le décompressait de fumer. Il réouvrit ses yeux quelques minutes après, se leva de la chaise où il c'était assis et sortit de chez lui.
Dehors, il faisait noir, les rayons du soleil ne pouvant pas passer au travers des nuages noirs qui recouvraient le ciel. Mais, ces nuages noirs, n'étaient pas là pour décorer. Ils faisaient tomber une pluie lourde sur le sol. Umenasaï sourit, il aimait ce temps, il alla alors à sa volière et en sortit Kuroni, son corbeau de compagnie.
Tous deux commencèrent alors une petite balade matinale. Le jeune Junnin se mit en marche vers le centre du village où se trouvait les rues marchandes, la tour du Raikage et l'académie. Mais ce qui intéressait Umenasaï, c'était bien sur les rues marchandes. Il se mit donc en route. Il passa dans de nombreuses ruelles, il passa même dans le quartier le plus malfamé du village, mais ne fût accosté par aucun brigand. Alors, il continua sa marche, et quand il fût dans les rues marchandes, il s'arrêta brusquement. Il regarda aux alentours, mais il y avait très peu de personnes. Etait-ce à cause du temps? Ou autre chose de beaucoup plus grave? Umenasaï n'en savait rien, mais il se dirigea vers un bar. Ce dernier était remplit, tout le monde venait ici pour boire et se réchauffer. Le Juunin s'avança au comptoir et commanda une bière ainsi qu'un paquet de cigarettes. Puis, il alla s'assoir sur une table qui venait d'être quittée et regarda le plafond jusqu'à ce qu'une jeune et jolie serveuse d'environ 16 ou 17 ans vienne le servir en souriant. Il la regarda longuement, et quand elle se retourna, il la regarda un peu plus encore. Puis, il prit sa bière, la bue lentement, en continuant de fumer. Après avoir finit son verre, Umenasaï se leva de sa table, alla payer et sortit du bar.
Dehors, la pluie tombait encore. Umenasaï et son corbeau se mirent alors en route vers l'armurerie. Le jeune Juunin entra tranquillement, regarda sur les étalages les différentes armes, jusqu'à ce qu'il trouve son bonheur. Là, sur cet étagère, il y avait un katana dont le manche et le fourreau était noirs, rouges et blancs. Ces couleurs dessinait des nuages, Umenasaï, admirait cette arme, jusqu'à ce que le vendeur arrive et lui demande ce qu'il voulait. Umenasaï se tourna alors vers le vieil homme au cheveux gris et aux yeux vert foncés, tout en désignant le katana et plusieurs shurikens ainsi que des kunaïs. Le vendeur prit alors le katana, une dizaine de shurikens et 5 kunaïs puis s'installa derrière son comptoir. Il regarda Umenasaï et lui demanda 95 yens. Le Corbeau mit la main dans sa poche et en sortit un porte-feuille d'où il prit 100 yens et les donna au marchand en lui disant de garder la monnaie. Il prit le katana, se l'attacha dans le dos, rangea ses kunaïs et ses shurikens puis sortit de l'armurerie. Une fois dehors, il se mit en route vers les portes du village. La pluie lui coulait sur le visage et Umenasaï aimait ça. Une fois devant les portes, il alla voir les gardes pour leur dire qu'il sortait pour aller à l'arène du village d'à côté.
Umenasaï sortit du village, s'assied sur un rocher pour allumer une cigarette et se remit en marche les mains dans les poches et la tête vers le ciel. Après environ une heure de marche, il se trouva enfin au village où ilallait se combattre dans l'arène. Il entra, puis sauta sur un toit avant de voler de maisons en maisons, jusqu'à ce qu'il arrive à l'arène. Il alla voir le guichet et dit:
-Bonjour, je voudrais me combattre, puis-je?
-Oui, bien sûr, aller dans l'arène, dès qu'un combattant arrivera, je vous l'enverrais.
-Merci beaucoup...
Umenasaï marcha alors jusqu'au milieu de l'arène et l'inspecta. Elle était entourée de mur en pierre, au milieu il y avait un petit ruisseau qui venait d'une cascade qui se trouvait sur la droite de l'arène. Tout autours de l'arène, il y avait des arbres, dont les troncs étaient trempés par la pluie qui tombait depuis le matin. Umenasaï sauta sur une branche en faisant attention de ne pas glisser et alluma une nouvelle cigarette pour attendre son adversaire.